UNION SAINT-GILLOISE – RWDM, CE DIMANCHE À 15H
« Il devait bien y avoir 15.000 supporters ! »
Patrick Thairet et Danny Ost ont participé au dernier match de championnat entre les deux clubs en 85
MICKAËL FABRI
La faute de Danny Ost était à l’origine du penalty converti par De Greef et la victoire du RWDM au stade Marien en 1985.
DR
Il y a plus de 30 ans d’ici, l’Union accueillait le RWDM au stade Marien. Les deux équipes croisaient alors le fer en deuxième division. Le Molenbeekois Patrick Thairet et le Saint-Gillois Danny Ost étaient opposés sur le terrain et en gardent de formidables images. Ce week-end, les deux formations vont se retrouver autour d’un match amical qui va faire vibrer Bruxelles.
L’ambiance risque d’être à son paroxysme ce dimanche après-midi aux abords du stade Marien. Bruxelles va revivre un derby à l’ancienne entre deux équipes qui incarnent le football bruxellois. Molenbeekois et Saint-Gillois mettront un point d’honneur à afficher leur ferveur aux yeux de tous. Les précieux sésames pour assister à la rencontre s’écoulent à foison et certains avaient même peur de se retrouver bredouille. C’est le cas de Patrick Thairet, ancien joueur cadre du RWDM.
« Je dois bien admettre que je m’y suis pris un peu tard (rires). Honnêtement, je ne sais pas si je pourrai y aller mais c’est certain que cette rencontre sera très chaude », intervient celui qui avait pris part au dernier match officiel entre l’Union et le RWDM. C’était en 1985 lorsque les deux formations jouaient en deuxième division.
« C’était à la fin de saison 84/85. Nous avions gagné 6-1 à l’aller et nous avions besoin des trois points du retour pour être quasiment certain d’être champions. Nous avons finalement gagné 0-1 grâce à un penalty d’Yves De Greef après une faute de Danny Ost (ndlr. actuellement coach du RWDM) », raconte Patrick Thairet. « J’ai toujours dit qu’il n’y avait pas penalty », sourit pour sa part Danny Ost.
Mais s’il y a bien une chose sur laquelle s’accordent nos deux interlocuteurs, c’est bien sur la popularité de ce genre de joute. À cette époque, tant le stade Marien et le stade Machtens étaient pleins à craquer. « C’était incroyable ! », s’enthousiasme Danny Ost. « C’était une véritable folie. Il devait bien y avoir 15.000 personnes à l’Union et plus de 20.000 à Molenbeek. Je m’en souviens encore très bien. Je retiendrai toujours cette atmosphère incroyable. On en avait des frissons sur le terrain », poursuit-il. Et Patrick Thairet d’enchaîner. « C’était à mon avis la dernière année où il devait y avoir autant de monde. Tant à Molenbeek qu’à l’Union. Ces deux clubs ont toujours eu l’habitude de compter sur un public fidèle. Ces deux clubs ont su garder cet esprit festif et cette consonance bruxelloise. Ce qui n’est pas le cas d’Anderlecht qui est désormais un club ‘national’, voire ‘international’. »
Pour Danny Ost, cette rencontre promet en tout cas d’être particulièrement spéciale. « J’ai joué 26 ans à l’Union et j’entraîne le RWDM. Je suis ravi de participer à cette fête. Je suis aussi très attaché à ma ville. C’est la fête du foot bruxellois et je veux en profiter un maximum. »
UN CORTÈGE PARTIRA DE MOLENBEEK
« Se déplacer en tram fait partie du folklore »
Les fans sont prêts.
FB
2016 vient à peine de débuter et c’est pourtant un des matches de l’année qui attend plusieurs milliers de supporters bruxellois ce dimanche. L’Union Saint-Gilloise reçoit le RWDM, comme dans la pièce Bossemans et Coppenolle, dans un match historique.
« Ce sera une grande fête pour le football bruxellois », sourit Eugène Verbist.
« Historiquement, le derby bruxellois, c’est le match entre l’Union et le Daring, aujourd’hui devenu RWDM. Forcément, les amoureux de foot sont impatients d’y être. »
Un match placé sous le signe du folklore puisqu’une bonne centaine de supporters du RWDM se déplacera en… tram !
« Depuis dimanche, huit fan-clubs du RWDM ont signé une charte avec le club pour créer une ASBL. Et en tant que président de cette dernière, j’ai proposé que le déplacement se fasse en tram. À la grande époque du RWDM, nous nous rendions à Anderlecht avec le bus 49. Le cortège partira dimanche vers 13h de Molenbeek. »
Et comme à la grande époque, le stade sera bien garni, dont une belle partie par les supporters du RWDM
« Nous avions reçu 980 tickets et toutes les places ont trouvé preneur. Pour rendre l’après-midi encore plus folklorique, certains fans seront habillés en Coppenolle et Madame Chapeau. »
Dimanche, une nouvelle ligne du football bruxellois sera donc écrite au stade Marien.
« Lors de leur déplacement au stade Edmond Machtens pour affronter le White Star, les supporters unionistes avaient affiché une banderole « ceci n’est pas notre derby ». Aujourd’hui nous l’avons, notre derby ! »
MARC GROSJEAN ET LES SAINT-GILLOIS JOUERONT FACE À LA LOUVIÈRE SAMEDI ET FACE AU RWDM DIMANCHE
« On garde notre animation, avec ou sans Fauré »
Samedi, sur le coup de 14h30 au Tivoli, les hommes de Marc Grosjean défieront La Louvière. Quasiment 24h plus tard, ils accueilleront leurs voisins du RWDM pour une joute amicale qui réanimera la ferveur populaire d’antan. « La Louvière joue la tête de sa série et la rencontre face au RWDM sera sans aucun doute spéciale », commente Marc Grosjean. « Nous avons eu une semaine très chargée avec une grosse charge de travail sans interruption pour un jour de congé. Les joueurs ont participé à 10 séances d’entraînement sur la semaine et tout s’est très bien déroulé », ajoute-t-il alors que les Unionistes se sont encore vus hier soir pour un dernier entraînement avant le week-end de compétition.
Si ces deux matches sont importants pour relancer la mécanique saint-gilloise, le coach unioniste sera surtout attentif au contenu proposé par ses joueurs. « Bien sûr que nous serons plus attentifs au jeu proposé qu’aux résultats. Nous devons essayer d’enchaîner et poursuivre sur la bonne dynamique que nous avions avant les fêtes. »
Ce sera aussi l’occasion pour Marc Grosjean de voir si son équipe digère bien le départ de Cédric Fauré. « Au niveau du fond de jeu et de l’animation, son départ ne change rien. Cédric était une pièce du puzzle. Parfois nous avons pu jouer directement vers lui mais un autre joueur prendra sa place et ce sera à lui de s’imposer. »
Florent Zitte, attaquant axial de formation, pourrait peut-être en profiter pour s’illustrer. Pour ces deux rencontres, Marc Grosjean devrait proposer des équipes équilibrées faisant tourner son effectif.
Ost : « Le match contre Tournai est plus important »
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Si l’Union risque de présenter des équipes mixtes lors de ces deux rencontres amicales de ce week-end, Danny Ost et le RWDM risquent bien d’en faire de même. Tout le monde s’accorde pour dire que cette rencontre amicale est importante mais elle reste amicale et les enjeux sont ailleurs.
« Nous avons un match très important à disputer mercredi » (ndlr face à Tournai en championnat), souligne le coach molenbeekois. « C’est un match beaucoup plus capital que ne l’est ce derby face à l’Union. Ici, c’est surtout pour le prestige. Je ferai tourner afin que nous soyons prêts à défier Tournai. »
Et si le RWDM était favori il y a plus de 30 ans, cette fois-ci, cette étiquette est portée par l’Union.
EN DIVISION 2 AUSSI, LE TRASH TALK EST PRÉSENT SOUS PLUSIEURS FORMES
Sadin : « Certains supporters me traitent de terroriste »
Anthony Sadin.
Devaux
Dans le football professionnel aussi, le trash talk est omniprésent. En Division 2, les joueurs de l’Union St-Gilloise y sont confrontés souvent. Même si certains préfèrent ne pas y faire attention.
« Cela fait partie du foot mais cela ne m’a jamais déstabilisé », nous confie ainsi Anthony Sadin. « Si je faisais attention à tout ce que l’on me disait, je ne pourrais jamais me concentrer. De mon côté, ce sont essentiellement des intimidations des supporters. Avec ma longue barbe et l’actualité du moment, des gens pas très malins me traitent de terroriste. Ça a un côté marrant mais je n’y fais pas attention. De mon côté, je n’en ai jamais fait l’usage. Sur le terrain, je suis calme et serein. Je pense que quand tu donnes quelque chose, tu reçois aussi en retour. »
Ce qui n’est pas le cas de tous les portiers bruxellois. Silvio Proto est en effet bien connu pour parfois jouer le jeu avec les supporters ou les joueurs.
« Quand je vois qu’il arrive à chambrer les supporters adverses régulièrement, je trouve cela dommage pour son image de capitaine », regrette le portier bruxellois. « À l’autre extrême, il y a Gianluigi Buffon qui est même parfois trop respectueux de tout le monde. La différence entre les deux est palpable. »
UNE TACTIQUE PAYANTE
De son côté, Grégoire Neels préfère montrer qu’il est là avec des actes plutôt qu’avec des mots. De cette façon, cela lui est déjà arrivé de faire sortir un joueur de ses gonds.
« Il y a peu face à Eupen, je suis resté dans les pieds d’un joueur pendant tout le match », se souvient-il. « Je l’ai titillé sans arrêt et ensuite, le gars a craqué et a eu un mauvais geste. À aucun moment je n’étais anti-jeu mais je ne lui laissais pas le temps de contrôler et ça l’a énervé. C’est la meilleure façon d’intimider
un joueur. »
Au final, c’est l’ancien tubizien qui aura eu gain de cause ce jour-là puisque Luis Garcia, malgré toute son expérience, a été exclu et que les Bruxellois ont arraché le nul.
Union et RWDM tournent la page
M.FA.
Dailly et Baatzsch préparent le match amical du 10 janvier.
M.FA.
Le 10 janvier prochain, Bruxelles va revivre un derby d’antan. L’Union Saint-Gilloise accueillera le RWDM au stade Marien et le rendez-vous est déjà bloqué par tous les nostalgiques et amoureux du ballon rond. Ce derby ravivra sans aucun doute les souvenirs et le club saint-gillois s’attend à voir ses tribunes largement garnies.
Pourtant, bons nombres de supporters molenbeekois ont affiché leur scepticisme sur les réseaux sociaux. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils n’ont pas oublié l’épisode du rachat de matricule de Waterloo. Un petit flash-back s’impose.
Alors que Thierry Dailly et son équipe travaillaient d’arrache-pied sur la renaissance du RWDM, ils étaient sur le point de finaliser le rachat du matricule de Waterloo quand l’affaire a pris une tournure pour le moins inattendue.
« Nous étions en réunion à la commune pour présenter la convention que nous avions signée avec Pierre Pirotte, le président de Waterloo. Et au même moment, le RWS Bruxelles était déjà au courant de quel matricule il s’agissait », regrette Thierry Dailly. Résultat, après le week-end, le matricule de Waterloo a été acheté par Jurgen Baatzsch et les supporters molenbeekois soupçonnaient déjà que l’ombre de John Bico ait fait pencher la balance. « J’ai très mal pris cet épisode », poursuit le manager du RWDM, reconnaissant que « Jurgen (ndlr. Baatzsch, président de l’Union) était intéressé par le matricule avant l’intérêt du RWDM » mais « il l’avait aussi décliné ». « Certaines personnes ont joué un sale rôle dans cette affaire et le président de l’Union n’en savait rien. »
Étonné de la tournure qu’avaient pris les événements, Jurgen Baatzsch précise qu’il n’a « jamais parlé à John Bico du RWDM ». « Je n’étais pas au courant de toutes les tractations entre le RWDM et Waterloo. »
Aujourd’hui, les deux hommes ont tourné la page et cette rencontre amicale du 10 janvier prochain doit l’illustrer. « Nous voulons démontrer que nous pouvons travailler ensemble aujourd’hui et que les deux clubs se respectent. J’ai toujours eu de bonnes relations avec l’Union pour y avoir joué et aujourd’hui, il faut se tourner vers l’avenir. Ce match amical du 10 janvier doit être une fête et ce le sera. J’invite donc tous les supporters à nous rejoindre pour passer un bon moment et revivre ce derby bruxellois. »
Et Jurgen Baatzsch de conclure : « C’est important de créer un événement sportif positif à Bruxelles. La capitale n’a pas connu une fin d’année facile et le sport peut contribuer à redorer cette image positive. »
Ce derby amical ne devrait pas être le dernier puisque les deux clubs ont déjà prévu de prévoir une « joute retour » cet été. Les deux clubs semblent donc bien avoir arrondi les angles. Thierry Dailly et Jurgen Baatzsch savent pertinemment bien que le football bruxellois n’a pas besoin de nouvelles querelles.
Greg a déclaré
regor a déclaré
tifopat a déclaré
takos21 a déclaré
franchement la direction n’a que ce qu’elle mérite: quant on va comment les clubmen sont traités, faut pas après s’étonner qu’on te fasse un coup dans le dos. Le respect c’est dans les 2 sens…
Chacun son opinion … pour moi, c’est une décision du joueur puisque très rapidement, la communication officielle à dit “niet” pour son transfert.
Le reste, c’est pour essayer de se dédouaner de ses actes … Quelques soit ses raisons ( argent, nouveau défi, incertitude licence ), il à lui même
voulu abandonner le navire … il se croit peut-être plus en sécurité à l’Antwerp … j’espère de tout coeur que ce sera Tubize ou Eupen champion.
Et malheureusement comme dans tout le football pro, la notion de clubmen n’a plus aucune importance … les sentiments n’ont plus leur place et
ça, ce n’est pas la faute de notre direction. C’est un constat général pour ceux qui suivent la Jupiler League.Tubize, Eupen? Pourquoi pas l’Union??? bon je sors me desaouler
Honnetement dit, j’y avais pensé 5 sec après le match de Dessel.
Et si Jurgen va nous rammené qq perles aux mercato s et que dans qq mois on est encore dans le top 3.
On sera l équipe avec le moins de stress pour le titre, le vrai outsider. Cela peut jouer un role vers la fin.
Après je me suis dit, non. Arrete de rever.Maintenant tout le monde souhaite à Faure de ne pas monté avec Anvers.
Certains préfères même Tubize avant Fauré.
Et si Jurgen jouait lui même un sale tour à Fauré en prennant nous même le titre?.
Si le parc Baudouin est valable pour la D1b, il sera aussi valable pour la vrai D1.Tout dépendra de ce qui va se passé encore au mercato avec les transferts IN à l’union
Je pensais être le seul optimiste (doux rêveur pour certain) sur ce forum ! 😉
regor a déclaré
tifopat a déclaré
takos21 a déclaré
franchement la direction n’a que ce qu’elle mérite: quant on va comment les clubmen sont traités, faut pas après s’étonner qu’on te fasse un coup dans le dos. Le respect c’est dans les 2 sens…
Chacun son opinion … pour moi, c’est une décision du joueur puisque très rapidement, la communication officielle à dit “niet” pour son transfert.
Le reste, c’est pour essayer de se dédouaner de ses actes … Quelques soit ses raisons ( argent, nouveau défi, incertitude licence ), il à lui même
voulu abandonner le navire … il se croit peut-être plus en sécurité à l’Antwerp … j’espère de tout coeur que ce sera Tubize ou Eupen champion.
Et malheureusement comme dans tout le football pro, la notion de clubmen n’a plus aucune importance … les sentiments n’ont plus leur place et
ça, ce n’est pas la faute de notre direction. C’est un constat général pour ceux qui suivent la Jupiler League.Tubize, Eupen? Pourquoi pas l’Union??? bon je sors me desaouler
Honnetement dit, j’y avais pensé 5 sec après le match de Dessel.
Et si Jurgen va nous rammené qq perles aux mercato s et que dans qq mois on est encore dans le top 3.
On sera l équipe avec le moins de stress pour le titre, le vrai outsider. Cela peut jouer un role vers la fin.
Après je me suis dit, non. Arrete de rever.
Maintenant tout le monde souhaite à Faure de ne pas monté avec Anvers.
Certains préfères même Tubize avant Fauré.
Et si Jurgen jouait lui même un sale tour à Fauré en prennant nous même le titre?.
Si le parc Baudouin est valable pour la D1b, il sera aussi valable pour la vrai D1.
Tout dépendra de ce qui va se passé encore au mercato avec les transferts IN à l’union
tifopat a déclaré
takos21 a déclaré
franchement la direction n’a que ce qu’elle mérite: quant on va comment les clubmen sont traités, faut pas après s’étonner qu’on te fasse un coup dans le dos. Le respect c’est dans les 2 sens…
Chacun son opinion … pour moi, c’est une décision du joueur puisque très rapidement, la communication officielle à dit “niet” pour son transfert.
Le reste, c’est pour essayer de se dédouaner de ses actes … Quelques soit ses raisons ( argent, nouveau défi, incertitude licence ), il à lui même
voulu abandonner le navire … il se croit peut-être plus en sécurité à l’Antwerp … j’espère de tout coeur que ce sera Tubize ou Eupen champion.
Et malheureusement comme dans tout le football pro, la notion de clubmen n’a plus aucune importance … les sentiments n’ont plus leur place et
ça, ce n’est pas la faute de notre direction. C’est un constat général pour ceux qui suivent la Jupiler League.
Tubize, Eupen? Pourquoi pas l’Union??? bon je sors me desaouler
takos21 a déclaré
franchement la direction n’a que ce qu’elle mérite: quant on va comment les clubmen sont traités, faut pas après s’étonner qu’on te fasse un coup dans le dos. Le respect c’est dans les 2 sens…
Chacun son opinion … pour moi, c’est une décision du joueur puisque très rapidement, la communication officielle à dit “niet” pour son transfert.
Le reste, c’est pour essayer de se dédouaner de ses actes … Quelques soit ses raisons ( argent, nouveau défi, incertitude licence ), il à lui même
voulu abandonner le navire … il se croit peut-être plus en sécurité à l’Antwerp … j’espère de tout coeur que ce sera Tubize ou Eupen champion.
Et malheureusement comme dans tout le football pro, la notion de clubmen n’a plus aucune importance … les sentiments n’ont plus leur place et
ça, ce n’est pas la faute de notre direction. C’est un constat général pour ceux qui suivent la Jupiler League.
Et bien à mes yeux cela ne change rien, le minimum de respect à avoir c’est avant tout au joueur qui avait signé un contrat avec le club et qu’il se devait de le respecter…. Je sais c’est la loi du foot pro mais je ne reviendrai pas là-dessus.
Le fait c’est qu’il reproche au club une mauvaise communication et d’avoir pris sa demande à la légère…
Quoiqu’il en soit, il est parti, il nous a tourné le dos et donc, même si c’est un bon joueur et qu’il nous a aidé,, je l’oubierai rapidement et je ne dirai pas merci…
Dans les mois qui viennent, il regrettera peut être son choix …mais cela c’est une autre histoire.
UNION SAINT-GILLOISE
« J’ai le sentiment qu’on s’est un peu foutu de moi »
Cédric Fauré revient sur les raisons de son départ
MICKAËL FABRI
Cédric Fauré a le regard désormais tourné vers l’Antwerp où il tentera de retrouver la D1.
Devaux
Le dossier Cédric Fauré est définitivement clos. L’attaquant français a donc décidé de rejoindre l’Antwerp et les supporters n’ont pas attendu très longtemps avant de s’exprimer sur les réseaux sociaux. Si certains remercient l’ancien buteur de Charleroi, d’autres n’hésitent pas à utiliser des termes comme « mercenaire » pour qualifier ce départ. Cédric Fauré réagit.
Il est évident que le départ de Cédric Fauré de l’Union Saint-Gilloise aura fait couler beaucoup d’encre. Adulé par la majorité des supporters de l’Union, il est aujourd’hui conspué par certains qui ne comprennent pas son choix de migrer vers le nord du pays.
L’attaquant français a donc souhaité faire connaître sa position avant de tourner définitivement le chapitre USG.
« Avant de partir pour quelques jours de congé, on m’a dit que nous nous réunirions le samedi, lors de la reprise, pour discuter de la situation » , explique Cédric Fauré. « Je n’ai vu personne ce jour-là. Je pense être quand même devenu un joueur important et si je ne me suis pas entraîné, c’est parce que j’ai le sentiment qu’on s’est un peu foutu de moi et qu’on a pris cette situation par-dessus la jambe. Il y a un minimum de respect à avoir. »
Un avis que ne partage pas Guy Brison, le manager du club. « Je ne le comprends pas, explique-t-il. « Avant son départ en congé, il voulait une réunion avec l’Antwerp et la direction du club pour conclure l’affaire. Le lendemain du match à Dessel, il m’a appelé pour me voir. Je lui ai dit que ça se ferait quand tout le monde sera autour de la table. Je ne pouvais rien faire tout seul », poursuit-il, ajoutant que « Cédric Fauré nous a bien aidés lors du premier tour et je suis déçu qu’il s’en aille mais nous ne savions plus reculer. »
L’ancien avant-centre du Sporting Charleroi pointe aussi la communication du président, Jurgen Baatzsch.
« Le président a déclaré avant la trêve qu’il n’y avait plus de contact avec l’Antwerp et qu’il avait refusé l’offre. Mais nous n’en avons pas discuté tous les deux. Je n’ai pas été concerté. Ça ne se passe pas comme ça. Même avant le match de Dessel, la situation était claire : il y avait un accord sur le prix avec le club anversois. Dans mon esprit, je partais. Puis, le club a finalement dit non. Ce qui ne m’a pas empêché de sortir une belle prestation face à Dessel (ndlr. il a inscrit un doublé). Cela me fait mal au cœur de voir le président s’épancher aujourd’hui sur les réseaux sociaux. »
Et pourtant, Cédric Fauré n’a pas été tout de suite intéressé par le défi anversois. « Au début, je ne voulais pas absolument partir. Ensuite, le club a ouvert la porte des négociations donc j’ai aussi écouté ce qu’on avait à me proposer. Si le choix était uniquement sentimental, je ne serais pas parti. »
À l’Antwerp, Cédric Fauré a surtout plus de certitudes par rapport à la suite de sa carrière.
« Bien sûr qu’on se pose des questions. Nous avons toutes les chances d’être dans les 8 mais il y a tout de même des questions encore sans réponse. Que ce soit la licence ou la rénovation du stade, ce sont de gros points d’interrogation. Dans le foot, on ne sait jamais. J’ai vu tellement de choses, que ce soit à Charleroi ou Reims, que ça fait réfléchir. L’avis de certains supporters ? Cela me fait mal. L’Antwerp était une opportunité et je ne pars pas pour l’argent. Je n’aurai pas un euro de plus que mon contrat actuel à l’Union. »
Cédric Fauré va désormais se préparer avec sa nouvelle équipe pour l’entame du second tour.
foulephil a déclaré
OOTBALL – DIVISION 2
Fauré quitte l’Union pour l’Antwerp
M.FA.Fauré s’en va à l’Antwerp.
RD
>
Cédric Fauré à l’Union Saint-Gilloise, c’est terminé. L’attaquant français a obtenu ce qu’il souhaitait, c’est-à-dire un départ vers l’Antwerp.
« Nous avons convoqué un conseil d’administration extraordinaire et nous avons décidé de donner notre accord pour son départ », explique Guy Brison, manager du club saint-gillois. « Nous sommes déçus de le voir partir mais nous n’avions plus trop le choix. Son âge a aussi joué un grand rôle dans notre décision. Il ne faut pas croire que les autres joueurs pourront partir en faisant une grève de l’entraînement », poursuit-il.
Ce week-end, l’ancien attaquant de Charleroi avait effectivement décidé de ne pas prendre part aux entraînements, mettant un coup de pression sur sa direction.
Cette action avait surtout pour objectif de montrer son mécontentement après le peu de considération affichée, selon lui, par sa direction. Alors qu’une entrevue devait avoir lieu samedi entre le manager du club, Guy Brison, et Cédric Fauré, celle-ci n’a pas eu lieu au grand dam de l’attaquant français.
« Samedi, je n’ai vu personne », confie Cédric Fauré. « J’ai l’impression que le club a pris ça par-dessus la jambe et qu’on s’est un peu foutu de moi. Il y a un minimum de respect à avoir », poursuit-il avant d’expliquer que « voir les supporters me traiter de mercenaire me fait mal au cœur ».
Ce manque de respect supposé du club combiné à l’incertitude qui entoure l’avenir de l’Union en D2 (pas tant sportive puisque la situation semble plutôt bien engagée avec une actuelle 3 e place au classement mais bien extra-sportive avec l’octroi de la licence et le stade qui ne répond pas actuellement aux normes de la D1B) auront eu raison du choix de Fauré de se tourner vers l’Antwerp où un plus grand défi sportif l’attend.
LE MÊME CONTRAT À ANVERS
La formation ambitieuse du nord du pays a déjà fait les yeux doux à l’ancien buteur de Charleroi à la mi-décembre. Si les négociations étaient bien avancées (on avançait alors une somme comprise entre 100.000 et 200.000 euros), le club saint-gillois a ensuite décidé de refermer la porte pour ne pas hypothéquer ses ambitions sportives lors du second tour. Aujourd’hui, Cédric Fauré ne l’a pas entendu de cette oreille, souhaitant saisir cette dernière opportunité. Selon nos sources, l’attaquant français de 36 ans aura exactement le même contrat qu’à l’Union, à savoir un bail d’un an et demi assorti d’une année supplémentaire en option avec une clause qui lui permet d’intégrer le staff sportif à l’issue de son contrat.
Les raisons de ce départ ne sont donc pas financières. Du moins pas encore puisqu’on suppose très facilement que le contrat de Fauré à l’Antwerp sera revu en cas d’accession à la D1 en fin de saison. L’an prochain, Cédric Fauré pourrait donc très bien recroiser la route de son ancien club : le Sporting Charleroi.
Je comprends que mercenaire est dur à digéré, mais tu peux pas nier que tu as employé l’union pour tes biens propres.
L’union a donné un contrat qui assurait ton futur sur et en dehors du terrain.
Une chose qu’anvers n’a pas voulu début de saison vu qu’il y avait déjà des contacts entre vous.
Il était plus simple pour toi, de remonnayer cela au mercato d’hiver avec ton contrat en main, tes buts, … .
Et voilà ce qui est fait, tu as la même proposition qu’Anvers n’a pas voulu te faire début de saison.
Un comportement pareil n’est pas digne d’un vrai Fauré. N’est pas digne de l’image que tu avais l’air d’avoir acquis à Charleroi etc etc.
C’est l’union qui t’a voulu donner ce contrat début de saison. Si tu avais marqué 4 goals et qu’on était 14 eme au classement général,
Crois-moi bien qu’Anvers ne t’aurai pas donné le même contrat.
Un comportement pareil (vu ton age) est totalement inexcusable
OOTBALL – DIVISION 2
Fauré quitte l’Union pour l’Antwerp
M.FA.
Fauré s’en va à l’Antwerp.
RD
>
Cédric Fauré à l’Union Saint-Gilloise, c’est terminé. L’attaquant français a obtenu ce qu’il souhaitait, c’est-à-dire un départ vers l’Antwerp.
« Nous avons convoqué un conseil d’administration extraordinaire et nous avons décidé de donner notre accord pour son départ », explique Guy Brison, manager du club saint-gillois. « Nous sommes déçus de le voir partir mais nous n’avions plus trop le choix. Son âge a aussi joué un grand rôle dans notre décision. Il ne faut pas croire que les autres joueurs pourront partir en faisant une grève de l’entraînement », poursuit-il.
Ce week-end, l’ancien attaquant de Charleroi avait effectivement décidé de ne pas prendre part aux entraînements, mettant un coup de pression sur sa direction.
Cette action avait surtout pour objectif de montrer son mécontentement après le peu de considération affichée, selon lui, par sa direction. Alors qu’une entrevue devait avoir lieu samedi entre le manager du club, Guy Brison, et Cédric Fauré, celle-ci n’a pas eu lieu au grand dam de l’attaquant français.
« Samedi, je n’ai vu personne », confie Cédric Fauré. « J’ai l’impression que le club a pris ça par-dessus la jambe et qu’on s’est un peu foutu de moi. Il y a un minimum de respect à avoir », poursuit-il avant d’expliquer que « voir les supporters me traiter de mercenaire me fait mal au cœur ».
Ce manque de respect supposé du club combiné à l’incertitude qui entoure l’avenir de l’Union en D2 (pas tant sportive puisque la situation semble plutôt bien engagée avec une actuelle 3 e place au classement mais bien extra-sportive avec l’octroi de la licence et le stade qui ne répond pas actuellement aux normes de la D1B) auront eu raison du choix de Fauré de se tourner vers l’Antwerp où un plus grand défi sportif l’attend.
LE MÊME CONTRAT À ANVERS
La formation ambitieuse du nord du pays a déjà fait les yeux doux à l’ancien buteur de Charleroi à la mi-décembre. Si les négociations étaient bien avancées (on avançait alors une somme comprise entre 100.000 et 200.000 euros), le club saint-gillois a ensuite décidé de refermer la porte pour ne pas hypothéquer ses ambitions sportives lors du second tour. Aujourd’hui, Cédric Fauré ne l’a pas entendu de cette oreille, souhaitant saisir cette dernière opportunité. Selon nos sources, l’attaquant français de 36 ans aura exactement le même contrat qu’à l’Union, à savoir un bail d’un an et demi assorti d’une année supplémentaire en option avec une clause qui lui permet d’intégrer le staff sportif à l’issue de son contrat.
Les raisons de ce départ ne sont donc pas financières. Du moins pas encore puisqu’on suppose très facilement que le contrat de Fauré à l’Antwerp sera revu en cas d’accession à la D1 en fin de saison. L’an prochain, Cédric Fauré pourrait donc très bien recroiser la route de son ancien club : le Sporting Charleroi.
Fauré à l’Antwerp : la tuile pour l’Union !
L’attaquant français était une pièce maîtresse au sein de l’effectif saint-gillois et son départ va faire mal
MICKAËL FABRI
Avec 11 buts lors du premeir tour, Cédric Fauré a grandement contribué à la réussite de l’Union.
Devaux
Le départ de Cédric Fauré pour l’Antwerp est un véritable coup sur la tête pour l’Union (voir page 26). En quelques mois seulement, l’attaquant français s’est rendu tout simplement indispensable. Aligné à la pointe de l’attaque saint-gilloise sans la moindre interruption depuis le début de saison, il a pesé de tout son poids, contribuant notamment au premier tour réussi du matricule 10. Désormais, l’avenir du club unioniste va se conjuguer sans Cédric Fauré.
En dix-huit matches avec l’Union, Cédric Fauré a inscrit 11 buts et s’est montré à plusieurs reprises décisif comme face à Lommel ou à Dessel récemment. À lui seul, il a alimenté le tiers du compteur-buts du club saint-gillois (32). C’est dire à quel point l’attaquant français a contribué au très bon premier tour de sa formation.
Pourtant, malgré cette bonne spirale, Cédric Fauré va prendre la direction de l’Antwerp pour un dernier défi. « Nous avons été contraints et forcés dans ce dossier », reconnaît Guy Brison, le manager saint-gillois. Le président Jurgen Baatzsch se dit quant à lui « triste » de voir son attaquant partir mais conscient que « cela fait partie de la vie d’un club ».
Déçu par le manque de considération de sa direction, Cédric Fauré est prêt à tourner la page saint-gilloise, sachant aussi que c’est sans doute sa dernière chance de goûter encore à la D1. « C’est une opportunité pour moi », précise-t-il. « Quand j’ai appris l’intérêt de l’Antwerp, je me suis dit que toutes les parties pouvaient être gagnantes. Si mon choix était uniquement sentimental, je ne serais pas parti. »
S’il a répondu aux attentes avec des stats bien plus que satisfaisantes, et tout cela sans manquer la moindre minute de jeu depuis le début de l’année, son rôle au sein du vestiaire et son expérience ont aussi beaucoup apporté au noyau. Du haut de ses 36 ans, Cédric Fauré a directement inspiré le respect de tous au sein du vestiaire. Il faisait l’unanimité et son départ manquera autant dans le vestiaire que sur le terrain.
Juste avant la trêve, Marc Grosjean pensait pouvoir compter sur Cédric Fauré. Désormais, il va devoir trouver une alternative pour compenser son départ.
Dans l’effectif actuel, aucun joueur de l’Union ne dispose du profil de Cédric Fauré. Florent Zitte est bien un attaquant de formation mais ses qualités ne sont pas celles du numéro 9. Il pourrait donc jouer l’intérim mais alors qu’il n’a encore jamais réellement convaincu, on imagine mal Marc Grosjean lui donner les clés de l’attaque. Rajsel et Da Silva ont quant à eux un autre rôle à jouer, semant le trouble dans les défenses et venant généralement de plus loin. Bref, des profils idéaux quand il y a un véritable attaquant à côté d’eux.
La solution la plus probable devrait donc venir du mercato et là, plusieurs pistes sont étudiées. Cette année plus que jamais, l’Union ne peut pas se permettre d’hypothéquer sa place dans le top 8. Marc Grosjean a jusqu’au 17 janvier et la réception du Lierse pour trouver une solution.
Hilaire Momi (Saint-Trond) pour remplacer Cédric Fauré ?
Hilaire Momi.
Belga
Si le départ de Cédric Fauré est acté, l’Union va devoir (très) rapidement penser à le remplacer. A priori, le club ne souhaitera pas finir la saison avec les seuls Florent Zitte et Dani Morais pour assurer l’intérim. En transférant Cédric Fauré, l’Union va donc recevoir une belle petite enveloppe de l’Antwerp et verra aussi sa masse salariale s’alléger considérablement avec le départ de son joueur le plus cher.
Résultat, le club aura des arguments à faire valoir pour tenter d’enrôler la perle rare. Celle-ci pourrait d’ailleurs venir de Saint-Trond, club avec lequel la direction saint-gilloise a d’excellents rapports. Le club serait effectivement en train de discuter de la venue d’Hilaire Momi, attaquant et international centrafricain de 25 ans.
L’an dernier, avec l’effectif trudonaire en D2, Momi a inscrit 12 buts en 28 apparitions (soit un but toutes les 89 minutes). Cette année, l’attaquant n’a disputé que 180 minutes avec l’effectif trudonaire et il y a certainement une possibilité d’envisager un prêt entre les deux parties. Du haut de son mètre quatre-vingt-sept, Hilaire a un profil intéressant et pourrait constituer un renfort de choix pour l’Union.
Le club attend aussi les derniers documents pour Sékou Amadou Camara mais bien qu’il soit prometteur et qu’il ait séduit Marc Grosjean, son arrivée n’a pas pour objectif de le voir s’imposer d’emblée comme titulaire indiscutable.
On rappellera aussi que Seïd Khiter est actuellement en test à l’Union et pourrait d’ici la fin de la semaine venir renforcer le milieu de terrain. Marc Grosjean est désireux de hausser encore la concurrence dans ce secteur de jeu et le T1 unioniste avait déjà annoncé qu’il souhaitait compter sur un médian offensif supplémentaire.
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