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Bon les gars , on ne va pas revenir toujours sur le passé !

Drazen et Tom qu’on a bien aimé chez nous sont ailleurs maintenant , punt aan de lijn !!!

Grosjean est chez nous , qu’on aime ou pas ; on n’a pas le choix , on fait avec !!!

Regardons devant nous et ce foutu top 8 qui nous tends les bras… Faisons corps avec nos joueurs et portons les dans les 8 et le reste , BASTA !

Si on n’y est pas , il sera toujours temps de gueuler !

Alleeeeeeeez l’Union , alleeeeeeeeez Saint-Gilles 😉

À l’Union

Massengo Pour sa carte rouge de dimanche, il s’est vu infliger 2 matches de suspension par la commission des litiges. Il ne jouera pas ce vendredi à Lommel et contre Coxyde le 6 mars.

Martens Handicapé par une entorse de la cheville depuis près de dix jours, le défenseur a participé normalement à la séance de ce mardi. Sa présence à Lommel est tout à fait envisageable.

Coulisses Le bilan de 3/15 donne des idées à certains. Une frange des administrateurs réclame le C4 de Marc Grosjean et… de Guy Brison. Heureusement, le président n’est pas de cet avis.

Espoirs Ce mercredi, à 19h30, au stade Marien, face à leurs homologues du Sporting de Charleroi, les Espoirs entament une série de matches de gala qui les verront accueillir le Club Bruges (9 mars), La Gantoise (30) et le Standard (27 avril).

« Je ne suis pas inquiet »
Marc Grosjean relativise la série de l’Union et ses 3 points sur 15

MICKAËL FABRI

Marc Grosjean sait que le match face à Lommel sera important.

RD

Dire que le début d’année 2016 est compliqué pour l’Union est un euphémisme. En cinq apparitions, le club saint-gillois a connu quatre défaites pour un seul succès (face au Lierse, 3-0). Ce dernier revers enregistré ce week-end a de quoi laisser de gros regrets. En attendant, staff et joueurs restent sereins. Pour l’heure, l’Union reste bien installée au sein du top 8.

L’étau se resserre autour de l’Union. Toujours classé 7 e , l’effectif saint-gillois voit son avance diminuer de semaine en semaine. Depuis le début de l’année civile, le compteur reste pratiquement bloqué et les Saint-Gillois peinent à engranger des unités. Seule la réception du Lierse a permis, l’espace d’un match, de regoûter à la joie d’un succès.
Malgré ça, Marc Grosjean reste serein. Surtout au vu des nonante dernières minutes de jeu de ces 10 joueurs face à une équipe de Tubize en supériorité numérique.
« Quand vous avez vu cette équipe jouer ce dimanche, vous ne pouvez pas être inquiet », martèle le coach saint-gillois. « Nous devons rester calmes et lucides. Le moral est-il toujours bon ? Encore une fois, peut-on en douter quand on a vu notre prestation ? Notre situation est toujours bonne et positive. Nous sommes toujours dans les huit et tout n’est donc pas si noir. »
Il n’empêche que la pression s’agrandit sur les épaules saint-gilloises. Vendredi se profile déjà un certain Lommel-Union qui pourrait s’avérer décisif dans la course au top 8 entre deux concurrents directs (ndlr. actuellement 8 et 7 es ). Pour bien négocier ce virage important, les Unionistes auront inévitablement besoin d’être concrets en zone offensive. Ce qui manque cruellement depuis la reprise…
« Nous manquons de leadership et de présence dans les seize mètres. Ce n’est pas un hasard si nous avons connu quatre défaites sur le même score. Et après chacun d’eux, on se demande encore comment on a été battu », peste Marc Grosjean.
« UNE PÉRIODE NOIRE »
On pense donc forcément au départ de Cédric Fauré. « Je ne regrette pas son départ. Il a choisi de partir et il a été au clash avec le club. Dans le football, les joueurs dirigent un peu la vie des clubs. Je regrette son attitude mais c’est son choix. Ce que je regrette aussi, et le club n’y peut rien pour un tas de raisons, c’est que nous n’avons pas su le remplacer rapidement. Et lorsque nous avons enfin trouvé son remplacement, il s’est blessé (cf. Antoine-Curier). C’est vraiment une période noire. »
Le club a aussi renforcé son secteur offensif avec les arrivées de Boumediene et d’Aguemon. Tous deux encore très discrets. « Ce n’est pas parce qu’on fait des transferts qu’ils doivent jouer », intervient Grosjean. « L’Union dispose d’une équipe extrêmement bien rodée et bien en place. C’est difficile d’y rentrer. Le type de joueur qui nous manque, ce n’est pas Boumediene ou Aguemon même si je suis heureux de les avoir parmi nous. C’est que nous n’avons pas d’alternative au joueur blessé et nous en souffrons. »

Georgios Kaminiaris a dû remplacer Gertjan Martens au pied levé
M.FA.

Kaminiaris au duel.

Devaux

Ne dit-on pas « le malheur des uns fait le bonheur des autres » ? Ce proverbe colle particulièrement à Georgios Kaminiaris. Relégué au banc des remplaçants depuis le début de la saison, l’ancien arrière gauche de Mons a, cette fois, bénéficié du forfait de dernière minute de Gertjan Martens pour s’illustrer.
« J’ai appris que je jouerais à quinze minutes du début du match. Mais quand je suis arrivé à la théorie, le coach m’a prévenu qu’il était possible que je commence la rencontre. Je m’y suis donc préparé », explique-t-il.
Alors qu’il a joué l’ensemble de la partie, Georgios Kaminiaris aura naturellement eu besoin de quelques minutes pour retrouver ses marques sur la pelouse du stade Marien mais force est de constater qu’il n’a pas perdu ses qualités.
« J’évaluerais mon match comme satisfaisant même si je garde un goût très amer dans la bouche. J’aurais évidemment préféré voir l’Union prendre au moins un point. »
La réception de Tubize ce dimanche était une belle occasion pour lui d’engranger du temps de jeu et de rappeler au coach qu’il peut compter sur lui. Face à la concurrence au sein du noyau saint-gillois, il n’a pas eu souvent l’occasion de le faire.
« C’est vrai qu’il y a pas mal de concurrence », admet-il. « Mais ça fait partie de la vie d’un footballeur. Parfois cela va mieux et parfois c’est plus compliqué. Je n’ai aucun problème avec ça. »
À l’image de tous ses coéquipiers, Georgios était satisfait du visage affiché par l’Union mais terriblement déçu par le résultat final.
« Après la carte rouge de Jordan (Massengo), on savait que ça allait être difficile. Nous savions qu’il fallait absolument rester solidaires et bien organisés. Nous avons eu pas mal d’occasions franches et le point aurait été mérité. Notre gardien n’a d’ailleurs pas eu grand-chose à faire. Il nous a manqué un brin de réussite… »
Il faudra désormais renouer avec la victoire sur le terrain de Lommel pour tourner la page.
« C’est une équipe difficile à jouer. Surtout chez elle mais nous avons une semaine pour préparer ça. »
Et si l’Union devra se passer de Massengo, elle pourra compter sur le retour de Rajsel. C’est déjà ça.

NEELS A COMMIS LA FAUTE
« Le penalty du 1-0 est sévère »

Pour ses deuxièmes retrouvailles avec Tubize, Grégoire Neels aurait aimé un autre dénouement. D’autant que même si les circonstances n’ont pas été favorables, il n’a pas manqué grand-chose pour inverser la tendance. « Quand tu joues contre Tubize et en plus en infériorité numérique, c’est forcément compliqué. Pourtant, nous avons eu les occasions. »
Auteur de la faute sur le 0-1, Neels reste perplexe. « Ils ont une contre-attaque, il (Shengelia) entre dans le rectangle et vient s’empaler sur moi. C’est difficile à dire mais je trouve ça très sévère. »
Mais le médian saint-gillois reste tout de même « optimiste ». « Quand on voit la prestation de l’équipe, on doit le rester. »

L’Union jouera bien au Heysel
O.E.

C’est sur le coup de minuit hier soir que tous les clubs de Division 2 ont dû rendre leurs dossiers administratifs pour l’obtention de la licence.
Si au RWS Bruxelles, on affiche sa confiance en précisant que « le dossier a été remis et qu’en raison des contrôles périodiques, nous sommes sereins », l’Union l’a joué au finish. En effet, ce n’est qu’hier en début de soirée que le club a finalement obtenu l’aval du conseil communal pour évoluer au stade Roi Baudoin.
« Avec ce papier, nous sommes très optimistes quant à l’obtention de la licence », confiait Guy Brison.
Les clubs auront plus de nouvelles sur leurs dossiers dans le courant du mois de mars.