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L’Union fait le buzz dans le monde entier  
L’Union fait le buzz dans le monde entier  

Un club suivi (dorénavant) de près à l’étranger.

Il ne se passe plus une semaine sans que   l’Union ne fasse l’objet d’un article ou d’un   reportage dans un média étranger.   L’écho de la saison des Saint-Gillois résonne  jusqu’en Argentine et à New York !  next

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Depuis quelques semaines, les feux des projecteurs… internationaux sont braqués sur l’Union. L’épopée des Saint-Gillois, à peine promus et en excellente position pour enlever les lauriers nationaux en fin de saison, intrigue et suscite la curiosité des médias du monde entier. « Rien que cette semaine, on a déjà eu trois ou quatre demandes venues des Pays-Bas. Et il va également y avoir une parution dans « Le Parisien », l’un des plus grands médias français », constate Maarten Verdoodt, le responsable de la communication de l’USG qui ne compte plus les articles et reportages dont l’Union a fait l’objet ces derniers temps. « Pour ne citer qu’eux, on a eu la BBC en Angleterre, Der Spiegel et la ZDF en Allemagne (NDLR : la chaîne publique allemande a consacré un reportage à l’Union la semaine dernière), Marca et AS en Espagne ainsi que la Gazzetta dello Sport en Italie. On a même eu des demandes hors d’Europe. Il y a eu une publication en Argentine ainsi que dans le prestigieux New York Times, sans oublier un grand intérêt du Japon. »Ces demandes se concentrent généralement sur le même sujet. « Les journalistes étrangers veulent venir voir le stade et l’atmosphère qui y règne. C’est leur principal intérêt. Ils disent souvent que le football d’avant revit ici. Nous, nous laissons surtout les supporters s’exprimer. On leur laisse raconter leur histoire. Et évidemment, les médias s’intéressent également à notre parcours. »Des médias qui sollicitent aussi des interviews des joueurs saint-gillois, majoritairement étrangers. « Des demandes très fréquentes sont faites pour Bart Nieuwkoop. D’ailleurs, neuf demandes sur dix de médias néerlandais concernent une interview avec Bart. Mais il y a aussi pas mal de médias français qui s’intéressent à Teddy Teuma car il est capitaine. »Une attention médiatique qui devrait aller crescendo.

UNE DÉCOUVERTE 

« Je ne me doutais pas que l’Union avait une histoire aussi riche »  

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  •  Il y a quelques semaines, Marca, célèbre journal espagnol, avait titré : « Union, el último milagro del fútbol europeo en ‘La pequeña España de Bruselas’ ». Traduisez : « Union, le dernier miracle du football européen dans ‘La petite Espagne de Bruxelles’ », en référence à la commune de Saint-Gilles au sein de laquelle la communauté espagnole est bien ancrée.Un titre qui pouvait évoquer un autre « miracle » du football survenu quelques années plus tôt et dont se souvient parfaitement Steven Kooijman, journaliste néerlandais pour « De Telegraaf ». « Je ne connais qu’une équipe qui a réalisé un exploit à la hauteur de ce qu’est en passe de réaliser l’Union : l’UE Llagosteria. C’est un petit club catalan qui est passé de la septième à la deuxième division espagnole en montant six fois d’affilée au tournant des années 2010. Une petite ville de 7.500 habitants s’est, en quelques années, retrouvée avec un club professionnel qui jouait face au Betis Séville ou à Gijon. »Si l’histoire de l’Union n’est pas totalement similaire, elle n’en reste pas moins toute aussi belle à raconter. Et c’est ce que s’évertuent à faire les médias étrangers qui, pour beaucoup d’entre eux, découvrent le club bruxellois. Une formation au passé glorieux, titrée à onze reprises avant-guerre mais qui avait disparu des radars du football de haut niveau depuis près d’un demi-siècle. « Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à l’Union, je ne me doutais pas que ce club possédait une histoire si riche. Je ne connaissais l’USG que de nom. Mais, en tant que professionnel, je me suis beaucoup renseigné sur le club. Et désormais, j’ai pris l’habitude de jeter un œil à ses résultats chaque week-end », explique Quentin Coldefy du journal « L’Équipe » en France qui avait consacré un papier à l’USG au début du mois de décembre dernier. « À l’époque, je ne pensais écrire que sur une belle petite histoire d’un promu qui impressionnait. Mais personne n’osait vraiment s’enflammer. Aujourd’hui, le club est en tête du championnat avec dix points d’avance. Et ce, après avoir affronté les quatre grands. Mais pour autant, et malgré ce parcours exceptionnel, il faut bien avouer que les gens en France ne connaissent pas encore bien ce club. Les gens suivent plutôt la Ligue 1 et les grands championnats européens où évoluent les joueurs français majeurs. »Du côté du « Bild » en Allemagne, on abonde en ce sens. « Nous avons bien sûr un oeil sur l’Union, et plus spécialement sur Deniz Undav dont l’histoire est assez incroyable. Mais nous écrivons en priorité sur la Bundesliga ou sur les grands championnats européens », explique le journaliste Heiko Niedderer.Certains médias, par contre, ne découvrent pas le « phénomène » Union. C’est le cas de « So Foot » qui avait déjà consacré des articles au club saint-gillois par le passé. « On ne s’est pas réveillé tout d’un coup. On suivait déjà l’Union depuis plusieurs années, un club dont les valeurs nous ont toujours intéressées », explique Andrea Chazy, journaliste au sein du célèbre média français, réputé pour son ton décalé. « Je me souviens qu’on avait déjà écrit un sujet en 2019 sur les Union Bhoys (NDLR : le fervent club de supporters de l’Union) qui avaient lancé de manière ironique un crowdfunding pour acheter un match face à Malines (NDLR : au moment des affaires liées au Footbelgate). Ou, encore, en 2016 lorsqu’on avait consacré un sujet à Ignazio Cocchiere, un joueur de l’Union qui travaillait au Parlement européen. »En remettant son histoire en marche, l’Union Saint-Gilloise s’est refait un nom à l’international. Un nom et une histoire relayés par les plus grands médias du monde.

BEAUCOUP D’INTERVIEWS 

« Nieuwkoop et Burgess très sollicités »  

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Avec douze nationalités différentes en son sein, et même plus en sachant que plusieurs joueurs possèdent un double passeport comme Teuma, Lapoussin, Kandouss, Undav ou Puertas, l’Union est une véritable tour de Babel. De quoi, forcément, attirer les médias de bon nombre de pays, tous curieux de suivre l’évolution de certains de leurs compatriotes.Parmi les joueurs les plus demandés à l’interview, on retrouve notamment l’Anglais Christian Burgess. Un joueur pour le moins atypique, qui possède un diplôme universitaire en histoire et qui est un fervent défenseur de la cause animale. « On a pas mal de sollicitations pour lui de la part de journalistes anglais », confirme Maarten Verdoodt. « De temps à autre, ils demandent également une interview de notre président, Alex Muzio. »Et parmi les médias d’outre-Manche particulièrement intéressés, il y a notamment « The Argus », le quotidien de Brighton. Ce qui est somme toute assez logique quand on connaît les liens qui unissent les deux clubs. Cette saison, Kaoru Mitoma est prêté à l’Union, tout comme Kacper Kozlowski. Tandis que Deniz Undav, lui, vient d’être vendu au club du président Tony Bloom, même s’il restera jusqu’à la fin de la saison à l’USG. « De manière générale, on s’intéresse surtout aux joueurs prêtés par Brighton à d’autres clubs. Et donc, forcément, à l’Union », expliquait récemment le journaliste Brian Owen.« On a également beaucoup de demandes d’interviews pour Bart Nieuwkoop », révélait encore Maarten Verdoodt. Ce qui peut notamment s’expliquer par la proximité géographique entre les Pays-Bas et la Belgique, mais également par la notoriété dont jouissait le joueur dans son pays avant de s’engager à l’Union cette saison. Car il avait évolué de nombreuses années à Feyenoord avec qui il avait remporté le titre en 2017. Un sacre que le club rotterdamois attendait depuis dix-huit ans. Les journalistes néerlandais viennent dès lors régulièrement admirer ses prestations au parc Duden. « Bart était une grande promesse à Feyenoord », explique Bart Vlietstra du « Volkskrant ». « Mais il a eu des blessures et a donc été freiné dans sa progression. Personnellement, je savais qu’il pouvait jouer de la sorte. »« Aux Pays-Bas, on regarde sa façon d’évoluer à l’Union de manière très intéressée », lâche quant à lui Steven Kooijman du « Telegraaf ». « C’est quelqu’un qui a eu une très bonne éducation footballistique et qui a notamment joué sous Roy Makaay durant sa formation à Feyenoord. Pourrait-il dès lors un jour prétendre à une place en équipe nationale ? Je ne suis pas dans la tête de Louis van Gaal mais, à sa position, il y a tout de même Denzel Dumfries qui joue à l’Inter, sans oublier Hans Hateboer qui évolue à l’Atalanta. »La petite « colonie » française est, elle aussi, régulièrement sollicitée par les médias venus d’Hexagone. « On a par exemple fait une grosse interview de Teddy Teuma en fin de saison dernière, lorsque l’Union a été promue », se souvient Andrea Chazy de « So Foot ». « C’était une histoire intéressante à raconter, d’autant plus qu’il était sélectionné avec l’équipe nationale de Malte. »Autant de sollicitations qui permettent à l’Union d’accroître encore un peu plus sa visibilité hors des frontières de la Belgique. Tout bénéfice pour elle !

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