Ignazio Cocchiere en pleine bourre à Dender | Vielles Gloires | Forum

Dender lutte actuellement pour le top 4 en Division 1 amateurs. Victorieux face au White Star Bruxelles samedi dernier (1-2), les hommes de Vande Velde ne sont qu’à trois unités dans la quatrième place, synonyme de playoffs.
« C’est notre objectif », lance d’emblée Ignazio Cocchiere. « C’est tout à fait réalisable au vu de nos prestations. Nous avons bien commencé la saison avant de connaître un passage difficile. Nous avons ensuite pu enchaîner avec une série de 19 sur 21 et de nous replacer. »
Là-bas, l’ancien attaquant de l’Union n’a eu quasiment besoin d’aucun temps d’adaptation.
« C’est le mérite du coach que je connaissais avant de signer. Il est honnête et correct avec tout le monde. Il m’a donné ma chance et j’essaye de lui rendre cette confiance en marquant des buts. »
Ignazio Cocchiere reste en tout cas satisfait ce qu’il réalise aujourd’hui pour ses nouvelles couleurs, lui qui a déjà inscrit 13 buts en championnat et 2 en Coupe de Belgique.
« C’est une petite satisfaction de marquer et pourtant je ne joue pas forcément devant. Le coach me fait jouer au milieu et il sait qu’il peut compter sur moi pour défendre », explique-t-il. « Dans ce championnat, nous retrouvons tout de même 9 équipes de l’ancienne division 2 et les champions de D3. Dont le Beerschot qui est au-dessus du lot et qui a le niveau de la D1B. »
Cette expérience à Dender est en tout cas une réussite pour Cocchiere qui souhaitait surtout se relancer.
« C’était l’endroit idéal pour moi rebondir. Je savais que j’avais le niveau. Chacun fait ses choix mais je prouve que j’ai le niveau. J‘ai choisi de rester à un bon niveau alors que j’avais la possibilité de rejoindre une équipe ambitieuse plus bas (RWDM). Dender est un club de haut niveau et on peut le constater au vu de leurs infrastructures. »
Pour la suite, Ignazio Cocchiere est bien déterminé à retrouver le meilleur niveau. Que ce soit à Dender ou ailleurs.
« Ce n’est pas moi qui décide mais les stats parlent pour moi en ce moment. En venant ici, j’ai pris un risque de signer un an avec un an d’option alors qu’on m’en proposait deux. »