vatoutkc a déclaré
malgré son envie de départ, selemani prolonge pour 4 saisons à courtrai . il devient par l occasion le “plus gros salaire” de courtrai. courtrai payera egalement à lunion ce que selemani devait à l union.
malgré ça mon petit doigt me dit qu il ne s y attardera pas
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La récompense après le prix de la traîtrise
Depuis 1955, il n'y a qu'un seul club: l'UNION
vatoutkc a déclaré
ne pas oublier qu il a touché une treeeeeees grosse prime à la signature….
Mais ça il n’en parle pas …. comme un certain .. heu … Fixelles je crois, si je m’en souviens bien.
En ce qui concerne Faiz, la page est tournée … je ne le sifflerai plus … comme dit, ‘il paye maintenant.
mais mon petit doigt me dit qu’il doit y avoir sans doute de l’officieux dans son salaire … juste mon petit doigt
C’est évident que les dirigeants de Courtrai savaient, ils prennent les gens pour des imbéciles, en plus d’être malhonnête.
Quand à l’autre pleureuse, qu’il y reste dans son trou. Il a voulu faire le mariole, il s’est planté et si il est trop malheureux qu’il arrête sa carrière et nous épargne ses jérémiades. Moi, le pardon je ne sais même pas ce que ce mot veut dire, c’est un traître point barre.
apache26 a déclaré
Quelles leçons faut il retenir de ce triste épisode ?
– les agents sont vraiment les fossoyeurs du foot pro et au premier chef les esclavagistes dont parlait Abbas Bayât dans le documentaire d’Investigation mercredi dernier.
– mal conseillé, je veux bien le croire, mais il est tombé sur un club de Courtrai malhonnête. A qui Courtrai fera t il croire qu’il pensait que tout était Ok et que le joueur était libre ? Pas à moi !
– Courtrai exerce un vrai chantage sur le joueur en disant qu’il paiera l’amende si Selemani resigne un contrat bien entendu à leurs conditions certainement exceptionnelles,
– Selemani s’est donc trompé 2 x en quittant l’Union de la mauvaise manière et pour un club de m….Oui il a été copieusement sifflé et chambré lors de sa venue chez nous. A juste titre.
Mais a l’époque j’ai apprécié qu’il soit resté calme et surtout qu’il soit venu s’expliquer avec les supporters après la rencontre. Notre sommes un bon public et ceux qui le huaient ont visiblement changé d’avis après qu’il se soit présenté à nous.Une nouvelle fois, nous ne savions pas tout et en ce qui me concerne il est pardonné.
Bonne chance à toi Faiz
Un dirigeant de club sait, ou devrait savoir, si un joueur est libre ou non.! Prétendre le contraire est soit de la mauvaise foi, soit de l’incompétence.
En deux clics ou appels téléphoniques on peut savoir si un joueur est libre, en in de contrat o non. Le règlement est simple il est interdit de prendre contact avec un joueur dont le contrat n’arrive pas à échéance dans les six mois sans l’accord du club employeur; Au cours des 6 demiard mois de contrat l’accord n’est pas requis mais l’avertissement est la norme.
Quelles leçons faut il retenir de ce triste épisode ?
– les agents sont vraiment les fossoyeurs du foot pro et au premier chef les esclavagistes dont parlait Abbas Bayât dans le documentaire d’Investigation mercredi dernier.
– mal conseillé, je veux bien le croire, mais il est tombé sur un club de Courtrai malhonnête. A qui Courtrai fera t il croire qu’il pensait que tout était Ok et que le joueur était libre ? Pas à moi !
– Courtrai exerce un vrai chantage sur le joueur en disant qu’il paiera l’amende si Selemani resigne un contrat bien entendu à leurs conditions certainement exceptionnelles,
– Selemani s’est donc trompé 2 x en quittant l’Union de la mauvaise manière et pour un club de m….
Oui il a été copieusement sifflé et chambré lors de sa venue chez nous. A juste titre.
Mais a l’époque j’ai apprécié qu’il soit resté calme et surtout qu’il soit venu s’expliquer avec les supporters après la rencontre. Notre sommes un bon public et ceux qui le huaient ont visiblement changé d’avis après qu’il se soit présenté à nous.
Une nouvelle fois, nous ne savions pas tout et en ce qui me concerne il est pardonné.
Bonne chance à toi Faiz
Les coulisses du contrat XXS de Faïz Selemani à Courtrai
Geert Foutré – Sport/Foot Magazine
Faïz Selemani est pour beaucoup dans le bon départ pris par Courtrai en championnat. Il ne vit pourtant qu’avec 1.200 euros par mois.
Les coulisses du contrat XXS de Faïz Selemani à Courtrai
Faïz Selemani: “Avant, quand quelque chose ne me plaisait pas, je réagissais au quart de tour. Ça m’a valu une étiquette de garçon difficile.” © BELGAIMAGE
À l’issue d’un entretien qui a porté sur ses bonnes prestations malgré des mois difficiles, Faïz Selemani nous demande de pouvoir ajouter quelque chose. “J’aimerais dire aux supporters de l’Union que je regrette la façon dont les choses se sont passées à l’époque. Je fais mon mea culpa. Ils m’ont donné de l’énergie que j’ai transformée en bons matches. Si je suis parti, c’est à cause de la direction du club et de l’entraîneur, pas à cause d’eux. Lorsque nous sommes allés à l’Union, le public m’a sifflé copieusement et ça m’a touché.”
En 2019, Selemani a été renvoyé de l’entraînement de l’Union suite à une divergence de vues avec le coach. Il a rompu son contrat et a trouvé refuge à Courtrai, qui a pensé (à tort) qu’il était libre. L’Union a introduit une plainte en justice et au printemps, le juge a condamné le joueur pour rupture de contrat abusive, lui infligeant une amende de 530.000 euros. Courtrai est donc obligé de verser son salaire sur un compte tiers, le joueur ne peut conserver que 1.200 euros par mois.
Il est pratiquement impossible de rembourser un tel montant quand on ne dispose pas d’un gros salaire et Courtrai refuse de payer l’amende. Selemani arrive en effet en fin de contrat et le club n’a pas envie de le voir partir gratuitement. MatthiasLeterme, le manager des Kerels, comprend qu’il est difficile de vivre avec 1.200 euros mensuels, mais estime que Courtrai n’est pas en tort. “Le tribunal a condamné le joueur, pas le club. Lorsque nous lui avons proposé un contrat, en 2019, nous nous étions basés sur des informations disant que la rupture de contrat unilatérale était légale. Il s’est avéré que ce n’était pas le cas. Si nous avions eu connaissance de tous les détails du dossier, nous ne l’aurions vraisemblablement pas engagé.”
“Je me sens bien ici, mais la situation me pèse.”
Faïz Selemani
Pour Leterme, il y a une solution. “Nous pouvons payer cette amende, à condition qu’il prolonge. Il a eu une période d’adaptation difficile, avec de nombreuses blessures, mais il est important pour l’équipe. Et c’est un brave gars. C’est pour ça qu’on aimerait le garder, mais on a nos limites. Il ne faut pas oublier qu’il aura 28 ans en novembre et qu’on ne pourra sans doute pas le revendre.”
Rêve d’enfant
L’été dernier, les rumeurs de transfert les plus folles ont circulé, mais Selemani est resté. Détenteur d’un passeport français, il espère disputer la Coupe d’Afrique des Nations avec les Comores. “Son agent nous a dit qu’un club était prêt à verser un million d’euros pour lui, mais personne ne nous a contactés. Et de toute façon, nous ne l’aurions pas laissé partir à ce prix-là.” À quel prix, alors? “Nous n’avons pas fixé de somme, car nous ne voulons pas le vendre.”
Tant que les négociations ne sont pas terminées, c’est le joueur qui paye l’amende. Et ça fait quatre mois que ça dure. “Il est très difficile de vivre avec salaire aussi bas, mais j’essaye d’être au-dessus de ça, car je sais que la seule façon de m’en sortir, c’est de me mettre en évidence. Si je joue bien, une solution se présentera. Si je baisse les bras, il ne se passera rien. Je me suis promis d’être chaque jour, chaque semaine le meilleur homme sur le terrain. Je veux montrer que je peux fournir de bons états de service et faire face aux difficultés. J’ai déjà livré une bonne saison avec l’Union, l’année où on a atteint les demi-finales de la Coupe de Belgique: j’avais inscrit 17 buts, mais c’était en D1B. Maintenant, je veux montrer que je peux faire aussi bien au plus haut niveau.”
Selemani a éclos sur le tard. Lorsqu’il est arrivé à Courtrai, il n’avait encore joué que trois matches en Ligue 1, avec Lorient. Son rêve d’enfant était simplement de jouer au football. Il avait tenté sa chance à l’Olympique de Marseille, sans succès. Ça ne signifie pas qu’il regrette de ne jouer qu’à Courtrai. “Je me sens très bien ici, mais cette situation me pèse. C’est pourquoi j’aimerais être transféré dans un club qui règle cette amende. Je vieillis, je n’ai plus tellement de temps.”
À Courtrai, il a d’abord souffert d’une élongation aux abdominaux puis le Covid l’a écarté des terrains pendant un mois. Au début de l’année, quand il s’est mis à bien jouer, l’équipe était dans le creux. Ses prestations sont donc passées inaperçues, ce qui n’est plus le cas maintenant. Il le doit à l’entraîneur, LukaElsner, avec lequel il avait déjà été très bon à l’Union.
Pas un garçon difficile
L’affaire de la rupture de contrat l’a transformé. “Avant, quand quelque chose ne me plaisait pas, je réagissais au quart de tour. Ça m’a valu une étiquette de garçon difficile. J’en ai retenu les leçons, je suis plus calme et je reste plus concentré. Je ne m’exprime plus que sur le terrain. Quand je joue, je me donne à fond comme quand j’étais gamin. C’est encore quelque chose que j’ai appris. Pour moi, le football était un jeu, mais dans ce monde, c’est un business. Nos rêves et nos ambitions ne comptent plus.”
Après sa condamnation, Selemani s’est séparé de son ancien agent et a opté pour FouadBenKouider, qui tente de résoudre sa situation. “J’ai déjà discuté cinq fois avec Courtrai. On se reverra bientôt. Courtrai veut le conserver, mais les conditions ne nous agréent pas. Si notre dernier entretien ne donne rien, Faïz aura deux possibilités: signer un précontrat avec un autre club, qui payera l’amende en janvier, et terminer la saison à Courtrai avant de partir gratuitement, ou bien être transféré dès janvier dans un club qui payerait l’amende plus une somme de transfert.” À combien Ben Kouider estime-t-il les chances de voir Selemani prolonger à Courtrai? “Elles sont très faibles, mais ne présumons pas de ce qu’il va se passer lors du prochain entretien.” Matthias Leterme sait que le joueur pourrait quitter le club gratuitement, mais il croit qu’un arrangement est toujours possible. “Si je n’y croyais pas, je n’aurais pas programmé cet entretien.”
r0410w a déclaré
Oui j’ai bien compris qu’ils sont à charge de Selemani. Par contre, je ne savais pas que Courtrai avait payé de son côté une somme de transfert. Si c’est le cas, alors OK.
J’espère que l’on veillera à ce qu’il le fasse, quitte à ce que la Fédération le suspende de toutes rencontres tant qu’il n’aura pas payé ce qu’il doit.
Un message de JMP sur les réseaux sociaux indiquait que les 2 clubs avaient
convenu d’une indemnité que le KV devait payer à l’Union.
Mais que pour l’instant le KV n’avait pas encore réglée.
vatoutkc a déclaré
courtrai aurait payé un montant à lunion.
les 500000 en plus sont à charge de selemani
Oui j’ai bien compris qu’ils sont à charge de Selemani. Par contre, je ne savais pas que Courtrai avait payé de son côté une somme de transfert. Si c’est le cas, alors OK.
J’espère que l’on veillera à ce qu’il le fasse, quitte à ce que la Fédération le suspende de toutes rencontres tant qu’il n’aura pas payé ce qu’il doit.
(DH)
En D2, Faïz Selemani était payé 22 000 euros brut par mois
EXCLUSIF
Les dessous incroyables de la condamnation de l’attaquant de KV Courtrai à payer
519 620 euros à l’Union Saint-Gilloise.
Faïz Selemani, l’ailier gauche du KV Courtrai, n’a pas dû apprécier de lire les détails
du jugement prononcé le 9 novembre par le tribunal du travail de Bruxelles le condamnant
à payer 500 000 euros à l’Union Saint-Gilloise pour avoir rompu le contrat qui le liait au club
pour trois ans. Un joli montant à payer même s’il fait appel.
Une histoire d’arroseur arrosé puisque Selemani avait ouvert le feu en attaquant le club jaune
et bleu pour “résolution brutale et anticipée” de son contrat : il réclamait un demi-million à la
Royale Union saint-gilloise.
Réponse du loup à la bergère, la RUSG, défendue par l’avocat spécialisé Antoine Chomé,
avait répliqué en attaquant le joueur pour “démission irrégulière ou à tout le moins non fondée”.
La justice a totalement donné tort à Selemani, dont un calcul apprend qu’il était payé à Saint-Gilles
un peu plus de 20 000 euros brut par mois.
Son contrat signé en août 2018 était censé le lier au club jusqu’au 30 juin 2021.
Selemani a eu tort de parler dans la presse. Le jugement s’appuie sur une interview parue le 15 mai 2019
dans Sport/Foot Magazine pour relever que déjà après huit mois de présence à l’Union, le joueur
manifestait la volonté d’être parti l’année suivante. “Je vais partir, c’est sûr. Où ? Je ne sais pas encore
mais je ne serai plus à l’Union l’année prochaine.
Mon but est de commencer à faire partie des grands”
Pour Selemani, tout s’accélère le 6 août quand deux clubs, Courtrai et Caen, ont émis ce jour-là des
offres de rachat aux prix de 350 000 euros (KV Courtrai) et 850 000 euros (Caen).
Le joueur de 27 ans n’en sort pas grandi. À partir des offres de rachat, son comportement envers le club
saintgillois n’a plus été pareil.
Il commence par se plaindre de tensions aux adducteurs mais manque un rendez-vous médical pour une IRM,
puis refuse l’accès d’un soigneur à son domicile, manque un entraînement, arrive en retard au suivant,
refuse de suivre l’entraînement physique de reprise d’activité, perturbe un échauffement, envoie délibérément
les ballons hors du terrain et s’autorise à insulter l’entraîneur.
Jugeant le comportement “non professionnel”, le club réagissait en lui refusant l’accès au vestiaire et au terrain
et en le reléguant dans le noyau B.
Pour la justice, ces sanctions prises par le club étaient “fautives”. Fautives, certes, mais pas “au point de”
justifier que Faïz Selemani s’en aille.
Le joueur, qui ne peut accuser l’Union de résiliation brutale et anticipée du contrat, est donc débouté,
ce qui donne au club le droit à une indemnité égale à l’équivalent de la rémunération due jusqu’aux termes
du contrat : sur les 36, il restait 23 mois.
En droit sportif, le régime des indemnités de rupture déroge au droit commun des employés, ce que le
tribunal du travail justifie par “les objectifs légitimes poursuivis, la stabilité des clubs, une compétition
sportive équilibrée, l’intégrité du sport et la protection des clubs contre le débauchage des joueurs”.
Selemani paiera donc à l’Union saint-gilloise 23 fois son salaire mensuel brut de 21 782,60 euros,
soit 501 620,41 euros auxquels le tribunal ajoute 18 000 euros de dépens judiciaires, et encore 20 à verser
au fonds d’aide juridique.
Au total, 519 640, 41 euros à sortir de sa poche. Son avocat, contacté, n’a pas souhaité commenter.
Pour Me Antoiné Chomé, conseil de la RUSG, “cette décision est importante car elle va dissuader la pratique
déloyale développée par certains joueurs, encouragés par leurs agents, consistant à invoquer
des ruptures intempestives de leur contrat de travail pour éviter le paiement du prix de transfert”.
r0410w a déclaré
Il y a une question que je me pose. Vu que les torts sont officiellement à charge de Selemani avec amende à la clé, ceci ne remet-il pas le transfert en question ? A ma connaissance Courtrai n’a pas payé un euro pour l’acquisition de ce joueur. En estimant que sa rupture unilatérale du contrat était illégale, cela implique-t-il qu’il n’était pas un joueur libre et que par conséquent Courtrai n’avait pas le droit de l’acquérir ? Tel que je conçois les choses, l’amende infligée à Selemani est indépendante de l’attitude de Courtrai, ceux-ci devraient donc être contraints de verser une somme de transfert, voire aussi perdre sur tapis vert toutes les rencontres auxquels le joueur a participé.. Mais bien entendu, je ne suis pas juriste et j’aimerai que l’on éclaire ma lanterne à ce sujet. Car l’attitude du club flandrien ne doit pas non plus restée impuni il me semble.
En tout cas, cette décision (si confirmée en appel) pourrait sonner le glas à la fameuse loi de 78.
Je me posais la même question depuis le jugement à savoir que les match ou Selemani a été aligné par Courtrai doivent être considéré comme perdu !!!!! Si cela ne se fait pas, encore une aberration de plus dans ce système juridico footbalistique de plus en plus débile
Il y a une question que je me pose. Vu que les torts sont officiellement à charge de Selemani avec amende à la clé, ceci ne remet-il pas le transfert en question ? A ma connaissance Courtrai n’a pas payé un euro pour l’acquisition de ce joueur. En estimant que sa rupture unilatérale du contrat était illégale, cela implique-t-il qu’il n’était pas un joueur libre et que par conséquent Courtrai n’avait pas le droit de l’acquérir ? Tel que je conçois les choses, l’amende infligée à Selemani est indépendante de l’attitude de Courtrai, ceux-ci devraient donc être contraints de verser une somme de transfert, voire aussi perdre sur tapis vert toutes les rencontres auxquels le joueur a participé.. Mais bien entendu, je ne suis pas juriste et j’aimerai que l’on éclaire ma lanterne à ce sujet. Car l’attitude du club flandrien ne doit pas non plus restée impuni il me semble.
En tout cas, cette décision (si confirmée en appel) pourrait sonner le glas à la fameuse loi de 78.
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