Capitaine durant trois ans et demi et titulaire incontournable pendant cinq ans au sein du cercle saint-gillois, Anthony Cabeke vit une drôle de campagne, lui qui n’a commencé aucune rencontre cette saison, devant se contenter de six apparitions en cours de match. Et pourtant, comme le soulignait encore récemment son coach Marc Grosjean, il reste positif en toutes circonstances et privilégie l’intérêt du groupe et du club, avant sa petite personne. Vous avez dit clubman ?
“Dès que vous posez un pied à l’Union, vous vous apercevez d’emblée que vous vous trouvez dans un club familial où il règne une grande convivialité, une ambiance incomparable”, explique le frère jumeau de Geoffrey.
Ce qui ne l’empêche pas de regretter souvent d’avoir à ronger son frein sur le banc. “J’ai 27 ans et je veux jouer. C’est normal. Mais je me suis blessé quelques jours avant notre premier match. Et Tracy Mpati m’a vraiment très bien remplacé. Il était normal que l‘entraîneur continue de lui faire confiance à mon retour.”
Son temps de jeu très réduit n’a pas empêché ses dirigeants de lever l’option de prolongation de son contrat. “Cela m’a surpris, mais cela m’a aussi fait très plaisir. C’est une belle reconnaissance. Maintenant, vu que je combine le foot à ce niveau, ce qui signifie des séances d’entraînement quasi quotidiennes, avec un job de prof de gym, je ne sais pas si je continuerai à faire autant de sacrifices à l’avenir pour recevoir si peu de temps de jeu. Mais c’est une discussion que j’aurai prochainement avec le coach, qui m’a beaucoup appris, et les dirigeants.”
Et ça n’empêchera pas Anthony de continuer à souhaiter le meilleur pour son club. “Le Top 8, j’y crois plus que jamais, surtout que l’arrivée de Kitambala nous permet d’avoir de nouveau un point d’appui devant. Mais attention à Virton, notre prochain adversaire, qui a l’avantage d’évoluer sans pression.
Les Sports Bruxelles,
Sam. 02 avr. 2016, Page 30
Capitaine durant trois ans et demi et titulaire incontournable pendant cinq ans au sein du cercle saint-gillois, Anthony Cabeke vit une drôle de campagne, lui qui n’a commencé aucune rencontre cette saison, devant se contenter de six apparitions en cours de match. Et pourtant, comme le soulignait encore récemment son coach Marc Grosjean, il reste positif en toutes circonstances et privilégie l’intérêt du groupe et du club, avant sa petite personne. Vous avez dit clubman ?
“Dès que vous posez un pied à l’Union, vous vous apercevez d’emblée que vous vous trouvez dans un club familial où il règne une grande convivialité, une ambiance incomparable”, explique le frère jumeau de Geoffrey.
Ce qui ne l’empêche pas de regretter souvent d’avoir à ronger son frein sur le banc. “J’ai 27 ans et je veux jouer. C’est normal. Mais je me suis blessé quelques jours avant notre premier match. Et Tracy Mpati m’a vraiment très bien remplacé. Il était normal que l‘entraîneur continue de lui faire confiance à mon retour.”
Son temps de jeu très réduit n’a pas empêché ses dirigeants de lever l’option de prolongation de son contrat. “Cela m’a surpris, mais cela m’a aussi fait très plaisir. C’est une belle reconnaissance. Maintenant, vu que je combine le foot à ce niveau, ce qui signifie des séances d’entraînement quasi quotidiennes, avec un job de prof de gym, je ne sais pas si je continuerai à faire autant de sacrifices à l’avenir pour recevoir si peu de temps de jeu. Mais c’est une discussion que j’aurai prochainement avec le coach, qui m’a beaucoup appris, et les dirigeants.”
Et ça n’empêchera pas Anthony de continuer à souhaiter le meilleur pour son club. “Le Top 8, j’y crois plus que jamais, surtout que l’arrivée de Kitambala nous permet d’avoir de nouveau un point d’appui devant. Mais attention à Virton, notre prochain adversaire, qui a l’avantage d’évoluer sans pression.
Les Sports Bruxelles,
Sam. 02 avr. 2016, Page 30
FOREST Le vice-président Guy Brison est d’un optimisme mesuré quant aux chances de voir le cercle saint-gillois achever la saison dans le Top 8. “Après être monté via le tapis vert, donc sans être champion, on a toujours dit qu’on allait essayer de finir dans les 8 premiers. Quand je vois que les autres promus, Deinze et Coxyde, sont largués depuis longtemps, je trouve que nous avons bien travaillé. Les joueurs ont évolué en surrégime pendant la première partie de la saison, avant de connaître un creux. Le départ de Fauré n’a rien arrangé. Mais le succès face au White Star nous a boostés au bon moment, tout comme l’arrivée de Kitambala.”
Les options sur Sadin et les frères Cabeke ont été levées. “C’est un signal vis-à-vis des supporters. Nous voulons conserver cet ancrage bruxellois.” Par contre, Antoine-Curier devra à nouveau se faire opérer. “Cette fois, ce sera chez un grand spécialiste, le Dr Declercq.”
Enfin, il y a le dossier de la licence. “Nous le défendrons lundi. Nous nous sommes mis en règle au niveau de l’ONSS. Il y avait un souci datant des années 2011 à 2014. Il est réglé.”
J.-F. De.